C'est bien différent de croire que nos expériences ont le salaire de nos rêves.

Encore à se retrouver derrière les pavés,

SANS POUVOIR
VRAIMENT SE CACHER

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

OBJET DU DÉSIR

Quand les rues se vides de leurs habitant.e.s, elles deviennent les fantômes des histoires qu'on ne racontera plus.

Les mains qui viennent se tendre tous les soirs au bout de nos tables sentent parfois le goût du miel.

Elle a toujours attendu d'être ailleurs et,
elle a toujours observé ce qu'elle n'osait pas prendre.

Les stores qui portent les dos dans l'attente des clients, se parent des mots fiers qui racontent la rue.





Luisant des lumières qui défile sans daigner les regarder.

Ces pas sont immenses et nous lancent les horizons des histoires qu'on ne connaîtra pas.

La libidinité de ceux qui nous ressemble arrive toujours à l'heure. Mais on continu d'être surpris.e.

C'est bien trop dur de ne pas prendre goût à cette réalité qui s'acharne contre ceux qui la vivent.

Sans jamais regarder ceux qui la fondent.

L'humour des verres vides font toujours l'effet d'une caresse amicale.
Sans la choisir on l'apprécie d'autant plus ; tant qu'on réussit à s'en détacher.

Les corbeaux receleurs d'olives sont fidèles aux choses qu'on ne respecte plus. Persuadée qu'il en reste chez eux.

Leur attente ici se transforme en coursive collective.